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MILAMARINA – PULL – BELIEVE
article paru le samedi 03 mai 2014
Que peut donc peindre une créature elfique virevoltant autour d’une harpe, le tout saupoudré de poussières électroniques ? Et bien un disque rempli d’aquarelles oniriques ! Le 1er album de cette jeune auteur-compositeur-interprète rémoise à la voix sucrée envoûte, transporte... Dans tous les cas, elle ne laisse pas indifférent. On ressent des influences évidentes de Bjork ou Kate Bush, et un univers barré à la Tim Burton. Le lyrisme et les textes écrits en anglais grandissent son œuvre et de toute évidence lui ouvrent les portes du monde terrestre. Le charme est jeté.
http://www.normandie-web.com/
article paru le samedi 03 mai 2014
Que peut donc peindre une créature elfique virevoltant autour d’une harpe, le tout saupoudré de poussières électroniques ? Et bien un disque rempli d’aquarelles oniriques ! Le 1er album de cette jeune auteur-compositeur-interprète rémoise à la voix sucrée envoûte, transporte... Dans tous les cas, elle ne laisse pas indifférent. On ressent des influences évidentes de Bjork ou Kate Bush, et un univers barré à la Tim Burton. Le lyrisme et les textes écrits en anglais grandissent son œuvre et de toute évidence lui ouvrent les portes du monde terrestre. Le charme est jeté.
http://www.normandie-web.com/
Pourvu qu'on s'aventure à pas de loup dans son univers, Milamarina
(cf 22 régions 22 groupes - Ep.7) rendrait même supportable la fin du monde. C'est l'un de mes coups de cœur musicaux de l'année. Comme un bon vin, je vous invite à le partager avec moi. Bientôt la petite fille deviendra grande. Et ce ne sera que justice...
Quels sont tes premiers souvenirs musicaux ?
Avant d'aller se coucher, mon père nous jouait, à moi et mes deux frères, quelques morceaux de Marcel Dadi à la guitare. Ensuite, les premiers morceaux qui m'ont "scotchée" lorsque j'étais toute môme, I get around des Beach Boys, et le passage du bal dans La Symphonie Fantastique de Berlioz...
Comment as-tu découvert la harpe et comment t'es venue l'idée de sortir l'instrument de son contexte "classique"?
Je ne sais plus comment j'ai découvert la harpe... je me souviens juste qu'au Conservatoire, après mes cours de piano, j'allais coller mon oreille à la porte des salles de harpe pour pouvoir en entendre quelques notes... Je n'ai eu la possibilité de commencer la harpe qu'à 14 ans seulement. L'idée de sortir l'instrument de son contexte classique est venue naturellement... j'étais fan de musique pop, trip hop et rock, et j'avais envie de chanter en m'accompagnant d'un instrument !
Aujourd'hui, Milamarina est aussi un projet collectif. Comment s'articule la participation des uns et des autres?
Mon travail de composition s'effectue toujours en solitaire, avec les mêmes moyens qu'au début... une harpe, un ordinateur, un micro, un logiciel de son... Mais maintenant que je cerne mieux la personnalité musicale de mes deux musiciens, j'ai toujours dans un coin de ma tête ce qui va pouvoir les mettre en valeur et leur plaire lorsque je compose de nouveaux titres. Ils m'influencent aussi énormément en me faisant découvrir de nouveaux groupes, ou de nouveaux instruments, machines...
Où puises-tu ton inspiration? De quoi se nourrit ton univers ?
Avant tout des instruments eux-mêmes. Ce sont leurs sonorités surtout qui m'inspirent. Si je commence à composer sur un clavecin, ce ne sont pas les mêmes choses qui vont venir que si je commence par la harpe, ou par le rythme. Mais sinon en terme d'influences, je pense qu'il n'y a pas que la musique ; certaines images, films, simples phrases, souvenirs, sentiments, m'inspirent parfois tout autant.
La comparaison avec Emilie Simon doit, j'imagine, revenir assez souvent. Qu'est-ce que ça t'inspire ?
J'ai commencé à écouter Émilie Simon lorsqu'on a commencé, en effet, à me comparer à elle... je connaissais les "tubes", mais avais curieusement fait l'impasse sur l'écoute attentive de ses albums. Ça a été une superbe découverte, cette fille a un talent fou, quelle belle comparaison !! Mais malgré tout, une comparaison, aussi flatteuse soit-elle, est toujours un peu gênante. Je n'ai jamais essayé de "copier" Emilie Simon, et ça m'ennuierait que les gens le pensent. Ma démarche musicale est très sincère et personnelle, il faut juste croire qu'Emilie et moi avons sans doute des tas d'influences en commun, un amour immense pour les instruments acoustiques ou électroniques et leurs sonorités, et une attirance commune pour tout ce qui a trait à l'imaginaire. Après, si on analyse de manière "classique" nos musiques, elles ont autant de similitudes que de différences !
Il paraît que tu aimes boire un verre de vin avant le début des concerts. Comme on est sur un blog qui s'appelle J'ai tout lu, tout vu, tout bu..., quel vin conseillerais-tu à nos lecteurs ?
Le meilleur vin, c'est surtout celui qu'on boit en tête à tête avec une personne qui nous est chère, celui qu'on boit seule dans son bain pour se consoler d'un chagrin, celui qui nous permet de trinquer à un bel évènement, celui qui se renverse maladroitement et provoque un éclat de rire, celui de trop, le premier, le dernier !!! Je pense que la qualité du vin dépend surtout de notre aptitude à l'apprécier...
Tu as un album en préparation pour le printemps 2013. Peux-tu nous en dire plus?
NON !
..
...
....
.....
......
Bon d'accord.
C'est pas vraiment un album, mais un premier EP officiel. Donc je vais devoir me limiter à 5-6 titres. Si ça dépendait de moi, je sortirais 27 albums par an !! Mais pour des raisons stratégiques qui me dépassent, tout le monde (je parle des professionnels de la musique) me conseille de ne pas aller trop vite et de garder des cartes en mains pour la suite. En tout cas, je ne suis pas encore complètement décidée sur le choix des titres ... j'en ai enregistré 15 nouveaux pour cet EP, en garder 5-6 c'est juste super dur !
Question de saison à 100 balles : quel est ton album préféré sur l'année 2012?
Tu me donnes vraiment 100 balles si je réponds??? (NDLR : euh...non) Cette année j'ai usé mon autoradio avec le dernier General elektriks et le dernier The Do, mais ils sont sortis en 2011 je crois, oups !! Pour l'année 2012, je vais donc faire l'apologie de l'album folk de Captain Kid. Les arrangements sont signés Julien Ribot, et c'est magnifique. J'ai eu l'honneur d'y poser quelques notes de harpe !
(cf 22 régions 22 groupes - Ep.7) rendrait même supportable la fin du monde. C'est l'un de mes coups de cœur musicaux de l'année. Comme un bon vin, je vous invite à le partager avec moi. Bientôt la petite fille deviendra grande. Et ce ne sera que justice...
Quels sont tes premiers souvenirs musicaux ?
Avant d'aller se coucher, mon père nous jouait, à moi et mes deux frères, quelques morceaux de Marcel Dadi à la guitare. Ensuite, les premiers morceaux qui m'ont "scotchée" lorsque j'étais toute môme, I get around des Beach Boys, et le passage du bal dans La Symphonie Fantastique de Berlioz...
Comment as-tu découvert la harpe et comment t'es venue l'idée de sortir l'instrument de son contexte "classique"?
Je ne sais plus comment j'ai découvert la harpe... je me souviens juste qu'au Conservatoire, après mes cours de piano, j'allais coller mon oreille à la porte des salles de harpe pour pouvoir en entendre quelques notes... Je n'ai eu la possibilité de commencer la harpe qu'à 14 ans seulement. L'idée de sortir l'instrument de son contexte classique est venue naturellement... j'étais fan de musique pop, trip hop et rock, et j'avais envie de chanter en m'accompagnant d'un instrument !
Aujourd'hui, Milamarina est aussi un projet collectif. Comment s'articule la participation des uns et des autres?
Mon travail de composition s'effectue toujours en solitaire, avec les mêmes moyens qu'au début... une harpe, un ordinateur, un micro, un logiciel de son... Mais maintenant que je cerne mieux la personnalité musicale de mes deux musiciens, j'ai toujours dans un coin de ma tête ce qui va pouvoir les mettre en valeur et leur plaire lorsque je compose de nouveaux titres. Ils m'influencent aussi énormément en me faisant découvrir de nouveaux groupes, ou de nouveaux instruments, machines...
Où puises-tu ton inspiration? De quoi se nourrit ton univers ?
Avant tout des instruments eux-mêmes. Ce sont leurs sonorités surtout qui m'inspirent. Si je commence à composer sur un clavecin, ce ne sont pas les mêmes choses qui vont venir que si je commence par la harpe, ou par le rythme. Mais sinon en terme d'influences, je pense qu'il n'y a pas que la musique ; certaines images, films, simples phrases, souvenirs, sentiments, m'inspirent parfois tout autant.
La comparaison avec Emilie Simon doit, j'imagine, revenir assez souvent. Qu'est-ce que ça t'inspire ?
J'ai commencé à écouter Émilie Simon lorsqu'on a commencé, en effet, à me comparer à elle... je connaissais les "tubes", mais avais curieusement fait l'impasse sur l'écoute attentive de ses albums. Ça a été une superbe découverte, cette fille a un talent fou, quelle belle comparaison !! Mais malgré tout, une comparaison, aussi flatteuse soit-elle, est toujours un peu gênante. Je n'ai jamais essayé de "copier" Emilie Simon, et ça m'ennuierait que les gens le pensent. Ma démarche musicale est très sincère et personnelle, il faut juste croire qu'Emilie et moi avons sans doute des tas d'influences en commun, un amour immense pour les instruments acoustiques ou électroniques et leurs sonorités, et une attirance commune pour tout ce qui a trait à l'imaginaire. Après, si on analyse de manière "classique" nos musiques, elles ont autant de similitudes que de différences !
Il paraît que tu aimes boire un verre de vin avant le début des concerts. Comme on est sur un blog qui s'appelle J'ai tout lu, tout vu, tout bu..., quel vin conseillerais-tu à nos lecteurs ?
Le meilleur vin, c'est surtout celui qu'on boit en tête à tête avec une personne qui nous est chère, celui qu'on boit seule dans son bain pour se consoler d'un chagrin, celui qui nous permet de trinquer à un bel évènement, celui qui se renverse maladroitement et provoque un éclat de rire, celui de trop, le premier, le dernier !!! Je pense que la qualité du vin dépend surtout de notre aptitude à l'apprécier...
Tu as un album en préparation pour le printemps 2013. Peux-tu nous en dire plus?
NON !
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Bon d'accord.
C'est pas vraiment un album, mais un premier EP officiel. Donc je vais devoir me limiter à 5-6 titres. Si ça dépendait de moi, je sortirais 27 albums par an !! Mais pour des raisons stratégiques qui me dépassent, tout le monde (je parle des professionnels de la musique) me conseille de ne pas aller trop vite et de garder des cartes en mains pour la suite. En tout cas, je ne suis pas encore complètement décidée sur le choix des titres ... j'en ai enregistré 15 nouveaux pour cet EP, en garder 5-6 c'est juste super dur !
Question de saison à 100 balles : quel est ton album préféré sur l'année 2012?
Tu me donnes vraiment 100 balles si je réponds??? (NDLR : euh...non) Cette année j'ai usé mon autoradio avec le dernier General elektriks et le dernier The Do, mais ils sont sortis en 2011 je crois, oups !! Pour l'année 2012, je vais donc faire l'apologie de l'album folk de Captain Kid. Les arrangements sont signés Julien Ribot, et c'est magnifique. J'ai eu l'honneur d'y poser quelques notes de harpe !
Mila Marina, nue sur son lit... | https://www.facebook.com/monsieurlouie | Chronique de monsieur l'ouie
23 mai 2014, 13:22
MilaMarina...Vous attend. Oui, cette belle femme-enfant dans sa nuisette blanche attend impatiemment celui qui deviendra son prince charmant. Notre belle ingénue n’a tout de même pas gardé sa virginité pour attendre son bellâtre princier, si l’on en juge par toutes ces petites grenouilles grouillant sur sa peau, entre ses draps ou sur son matelas. Elles ne se sont pas transformées en homme viril ou en intelligence humaine sous la fougue des baisers de notre princesse Mila. Non non, manque de pot, c’était de vrais batraciens. Ou alors, ce sont peut-être des amants un peu lourdauds qu’une nuit d’amour avec M’amzelle Marina aura transformé en grenouilles, c’est à dire la forme considérée comme la plus aboutie pour un imbécile atavique. Non mais. Et désolé pour les vraies grenouilles.
Le jour, Milamarina dissine des chansons sur son harpe adorée, pas de vieux trucs médiévaux mais des chansons pop de notre ère moderne, qu’elle interprète d’une voix aussi cristalline que le son de son instrument, une voix haute, caressante et quasi divine, une voix de sirène pourtant faite pour envoûter celui qui l’entend. En tout cas, ça marche très bien pour les quadrupèdes de l’ordre des anoures (révisez un peu vos cours de biologie). Point d’anoure, Milamarina veut de l’amouour, et elle le chante délicieusement, à sa façon qui se situe quelque part entre une Björk allanguie et une Lady Gaga point gaga, le tout avec désir et volupté. Elle rêve de cet étranger qui viendrait lui compter fleurette toute la nuit sur l’édredon, sans disparaître dans un nuage de fumée de clope au petit matin, «désolé ma belle, j’ai un rencard avec ma moitié». Dès le crépuscule, quand coassent les amphibiens, princesse Mila, après un petit prélude (ça porte un autre nom dans les jeux amoureux), se remmémore ce prince venu d’ailleurs qui vient dans ses songes, la dégèle puis la réchauffe, lui fait faire «OhohohoOohoh», et tutti quanti...
Mais tout cela n’est qu’un rêve, point de prince sentant bon le sable chaud, ce sont encore et toujours des grenouillent qui sautent joyeusement sur son lit, comme ravies du spectacle émoustillant offert gracieusement par leur princesse solitaire.
Encore toute émoustillée par ces évocations d’étreintes torrides, Milamarina établit alors un constat plus langoureux que douloureux, «Tu me manques, je suis junky». Encore frissonante, la belle passe un pull, va regarder un instant l’horizon qui rougeoit et la lune qui jaunoit, au cas où un cavalier s’approcherait de sa tour d’ivoire, mais rien, alors encore ivre de désir, la voilà qui va s’allonger sur son lit, parmi les batraciens qui restent cois, en chantonnant cette ultime prière: «Un jour mon prince viendra». Je sais, ça fait Walt Disney, mais avec cette princesse-là, ce ne sont pas les enfants qui profitent du conte. Le lendemain, ce sera peut-être le jour où le bon amant viendra toquer à sa porte. L’après-midi, après avoir dégusté un bon plat de cuisses de grenouilles sautées à l’ail et au persil, elle reprendra sa harpe et chantera ses méloppées envoûtantes parlant de baisers brûlants et d’étreintes enflammées.
«Ah, pense un jeune et beau paysan en l’écoutant depuis depuis son champ, si j’avais un cheval blanc...»
- Milamarina, «Pull», chez Believe.
« Pull » Chronique de l'album | Collaborateurs | http://www.http://www.zikaddict.fr/
Le monde atypique que Milamarina s’est créé est un conte moderne, peuplé de personnages étranges et de rêves alanguis. Conjuguant les harmonies oniriques de sa harpe à des éléments organiques et électroniques, Milamarina cisèle des mélodies envoûtantes, et narre de sa voix cristalline des histoires captivantes. Son opus, Pull, donne un excellent aperçu de son talent indéniable et son univers inclassable.
Sélectionnée dans la catégorie “Découvertes” du Bars en Trans 2011 et du Printemps de Bourges 2012, lauréate Zoom et Le Mans Cité Chanson electric’cité 2012, Milamarina s’est faite remarquer depuis un bail… notamment en assurant les premières parties de Stromae, Olivia Ruiz, Keziah Jones, H.F. Thiéfaine, Mademoiselle K, entre autres. La jeune harpiste rémoise débarque aujourd’hui sur le devant de la scène avec l’album Pull ; une rêverie contemporaine qui accroche l’oreille, titille l’imagination et caresse l’esprit. Accompagnée de Julien Rodriguez (aux machines/clavier) et Vincent Roubach (aux percussions), la jeune femme ensorcelle l’auditeur de sa voix sucrée et arpèges addictives. |
« Pull » Milamarina | Dove M.L.E.H | http://www.polca.fr
S’il y a bien, pour moi, un créneau dur à chroniquer dans la musique indépendante actuelle, c’est bien le Trip Hop, étiquette finalement assez méconnue du grand public. Il serait bien plus rapide de vous donner des noms d’artistes : Emilie Simon, Massive Attack, Portishead ou Bjork, mais cela serait trop facile. Le trip hop est un style exigeant, autant pour ses artistes que pour ses auditeurs. Pourtant, loin de la grande distribution qu’est la pop synthétique, Milamarina intellectualise un univers féerique, synthétique et d’une beauté littéraire à faire pleurer.
Son univers est puissant et complexe mais il s’écoute avec simplicité : il suffit de s’asseoir et de déguster… C’est une musique d’un épicurisme total et de bon goût, nous promenant entre la réflexion poétique et la magie enfantine d’un voyage d’Alice au pays des Merveilles. C’est beau, doux et reposant sans verser dans la mélancolie. Les rythmes et beats électroniques sont plutôt bien posés donnant de la dynamique. Rien n’est à regretter de morceaux en morceaux, on en voudrait toujours plus… Il y a de belles surprises sur cet album commme « Ohohohooohoh », qui comme son nom ne l’indique pas, prouve que la frêle petite blonde harpiste excelle dans l’electro pop. Avec cet opus, Milamarina nous prend et nous sublime, nous rends léger et nous tends une main tendu pour aller autre part… J’y suis et vous laisse, il fait beau la où « pull » m’a emmené… |
Milamarina, l’espoir de l’Orange bleue à Vitry | Corrine Lange | http://www.lunion.presse.fr
Marine Bailleul c’est le talent et la beauté à l’état pur. Leader du groupe Milamarina, la harpiste de Reims est en passe de se faire un nom à l’échelle nationale. Les responsables de l’Orange bleue l’ont d’ailleurs bien compris en proposant ce trio de musiciens pour représenter la salle vitryate lors de la 3e édition du tremplin Jeunes talents Caisse d’épargne.
« Ce concours concerne plus les groupes qui ont une envie de professionnalisation », explique Élodie Dufour, de l’Orange bleue. Chanteurs ou groupes qui ont forcément été programmés dans cette salle.
« Milamarina a fait la première partie de Joyce Jonathan en tout début de saison ». C’est d’ailleurs lors de cette prestation qu’un enregistrement a été effectué pour devenir le teaser présenté au public destiné à voter sur Internet. Aujourd’hui, Milamarina caracole en tête avec 362 voix d’avance devant son plus proche concurrent. Des internautes conquis par la voix et la technique de la harpiste.
Marine n’a que 26 ans lorsqu’elle découvre la musique. D’abord le piano. « Ma mère en possédait un à la maison. On m’a ensuite inscrite au conservatoire vers 6 ou 7 ans mais ce n’est qu’à l’âge de 14 ou 15 ans que je me suis mise à la harpe. Après mes cours de piano, j’allais coller mon oreille à la porte des cours de harpe », confie la musicienne, aujourd’hui âgée de 26 ans. « Je trouve cet instrument magique ». Ce qui ne l’empêche pas de lui faire quelques infidélités en pratiquant le jazz, l’écriture et le chant lyrique.
En concert à Reims
Marine a porté son choix sur une harpe classique de 48 cordes. « Il existe aussi la harpe celtique, avec des sons différents ». Son instrument ne quitte jamais la jeune femme. Ce qui lui vaut quelques petites anecdotes. « Pour la transporter, je la mets dans le coffre de ma voiture. Celle que je possédais avant était trop petite, du coup la harpe dépassait du coffre et je devais mettre un gilet réfléchissant dessus pour éviter qu’une voiture me percute ». Aujourd’hui, elle a opté pour un véhicule adapté.
À la fin de ses études, Marine se dirige vers le professorat. Pourtant, c’est à une carrière professionnelle qu’elle se destine avec ses deux acolytes de Milamarina, Julien Rodriguez et Vincent Roubach. « J’en ai très envie même si au début, je ne m’en sentais pas capable mais la musique c’est toute ma vie et pas seulement sur mon instrument. Je fais de la vidéo, j’ai créé un site internet et bien sûr je mixe mes morceaux ».
Le 9 février prochain, Milamarina se produira à 18 heures sur la scène de La Cartonnerie de Reims en compagnie d’un orchestre symphonique composé de 50 musiciens. Un beau début de carrière !
« Ce concours concerne plus les groupes qui ont une envie de professionnalisation », explique Élodie Dufour, de l’Orange bleue. Chanteurs ou groupes qui ont forcément été programmés dans cette salle.
« Milamarina a fait la première partie de Joyce Jonathan en tout début de saison ». C’est d’ailleurs lors de cette prestation qu’un enregistrement a été effectué pour devenir le teaser présenté au public destiné à voter sur Internet. Aujourd’hui, Milamarina caracole en tête avec 362 voix d’avance devant son plus proche concurrent. Des internautes conquis par la voix et la technique de la harpiste.
Marine n’a que 26 ans lorsqu’elle découvre la musique. D’abord le piano. « Ma mère en possédait un à la maison. On m’a ensuite inscrite au conservatoire vers 6 ou 7 ans mais ce n’est qu’à l’âge de 14 ou 15 ans que je me suis mise à la harpe. Après mes cours de piano, j’allais coller mon oreille à la porte des cours de harpe », confie la musicienne, aujourd’hui âgée de 26 ans. « Je trouve cet instrument magique ». Ce qui ne l’empêche pas de lui faire quelques infidélités en pratiquant le jazz, l’écriture et le chant lyrique.
En concert à Reims
Marine a porté son choix sur une harpe classique de 48 cordes. « Il existe aussi la harpe celtique, avec des sons différents ». Son instrument ne quitte jamais la jeune femme. Ce qui lui vaut quelques petites anecdotes. « Pour la transporter, je la mets dans le coffre de ma voiture. Celle que je possédais avant était trop petite, du coup la harpe dépassait du coffre et je devais mettre un gilet réfléchissant dessus pour éviter qu’une voiture me percute ». Aujourd’hui, elle a opté pour un véhicule adapté.
À la fin de ses études, Marine se dirige vers le professorat. Pourtant, c’est à une carrière professionnelle qu’elle se destine avec ses deux acolytes de Milamarina, Julien Rodriguez et Vincent Roubach. « J’en ai très envie même si au début, je ne m’en sentais pas capable mais la musique c’est toute ma vie et pas seulement sur mon instrument. Je fais de la vidéo, j’ai créé un site internet et bien sûr je mixe mes morceaux ».
Le 9 février prochain, Milamarina se produira à 18 heures sur la scène de La Cartonnerie de Reims en compagnie d’un orchestre symphonique composé de 50 musiciens. Un beau début de carrière !