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Chanteuse et musicienne autodidacte, la jeune femme explore un univers folk inspiré de ses origines britanniques. La douceur de sa voix a des accents de rêve éveillé, et l’on songe, hypnotisé par son visage de Madone, à Joan Baez tout autant qu’à la fragile Joni Mitchell.
France Culture / Atelier intérieur Ce jeune et joli petit bijou rémois s’appelle Paulette Wright. Dévorée par une énergie créative et touche à tout, elle façonne des mélodies inspirées et inspirantes grâce à des textes intimistes. Bien entourée, elle réussit avec brio à émouvoir grâce à une voix douce et mélodieuse posée sur fond de folk poétique et métissé. Inrocks lab' Un père anglais sculpteur / peintre, une mère française écrivaine et professeur, une soeur sculptrice plasticienne, une autre comédienne, Paulette a grandit au sein d’un environnement artistique fort.Chanteuse autodidacte, elle navigue entre la folk épurée et le trip hop. Elle développe son projet solo d’abord à travers le groupe Orange kiss puis plus tard, sous son propre nom. Elle s’entoure alors de Sam Callow au banjo, Nico Renard à la batterie et plus récemment Kevin Espich au clavier. Elle porte parallèlement son attention sur diverses projets, enchaîne les rencontres artistiques et les collaborations musicales explorant différents styles aux côtés d'artistes tels que Kim Giani, Remo, Milamarina, Seb Adam (Bewitched Hands), Panda Dub, Olivier Vaillant, Martin Mey, elle partage une improvisation vocale au coté de Bobby McFerrin à la comète, scène nationale, de Chalons.. Puis elle effectuera entre autre la première partie de Mariee Sioux au centre national de création musicale. Césaré de Reims ainsi que la première partie d’FM Laeti à la Cigale. |